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    Consentement médical pour les premiers soins et la RCP

    On présume que tous ceux qui ont besoin d'aide le souhaitent, mais ce n'est pas toujours vrai. Pour prendre soin de quelqu'un dans le besoin, vous devez avoir sa permission. Dans le domaine médical, l'autorisation s'appelle consentement, et il se présente sous deux formes: exprimé ou implicite.

    Consentement (verbal) exprimé

    Consentement exprimé signifie qu'une personne comprend vos questions et vous donne la permission de vous soigner. La victime doit être en mesure de communiquer clairement ses souhaits quant au consentement exprimé à compter. Parfois, le consentement exprimé est donné non verbalement par un geste, par exemple, si une personne hoche la tête quand on lui pose une question.

    Consentement implicite

    Consentement implicite ce consentement n'est pas expressément accordé. Cela se produit généralement lorsque vous êtes incapable de communiquer avec la victime. Le plus souvent, c'est parce qu'il est inconscient.

    Qui peut consentir?

    Le consentement exprimé doit provenir d'adultes qui ne sont pas altérés. Ne touchez pas et ne prenez pas soin d'une personne consciente qui la refuse. Toucher quelqu'un sans son consentement peut constituer une agression ou même une agression. Cela est particulièrement vrai si une victime vous a expressément interdit de le toucher. Si la personne refuse les soins ou retire son consentement à tout moment, reculez et appelez du personnel médical plus expérimenté. Ne te blesse pas en essayant d'aider quelqu'un dont ils ne veulent pas.
    Si la personne a moins de 18 ans, vous devez obtenir le consentement du parent ou du tuteur s'il est présent. S'ils refusent leur consentement, appelez le 911 et attendez l'arrivée des services médicaux d'urgence.
    Les victimes en état d'ivresse, ayant une déficience intellectuelle, des personnes confuses ou mineures non accompagnées par un adulte sont considérées comme ayant impliqué leur consentement. L’hypothèse est que les victimes ou leurs tuteurs légaux demanderaient de l’aide s’ils en étaient capables..

    En cas de doute, supposez que vous avez le consentement

    La sécurité est toujours primordiale. Par conséquent, chaque fois que vous ne connaissez pas les souhaits de la victime, il est important de vous aider. Pour le secouriste, le consentement n’est pas aussi important que pour un professionnel des services médicaux d’urgence. Ne laissez pas la question parfois compliquée du consentement vous empêcher d’aider d’autres personnes dans le besoin.